Fiction : Rose de Glace.

Prologue.

Bastian Milford est un jeune homme de 19 ans, enfin rien qu'au niveau physique, car pour son âge réel rien n'est moins sûr. Il n'est pas bien gros, pas très gros non plus. Il possède deux yeux rouges étranges et expressifs et surtout des cheveux couleurs noirs et raides sur sa tête.

Louane est une jeune fille de 18 ans, elle est maigre, une poitrine plus au moins présente, peut-être petite, mais ferme. Elle est légèrement plus petite que Bastian. La lady possède des cheveux roses plutôt long, arrivant au-dessus de son derrière. Ses yeux sont bleus et pétille d'intelligence.

I

l savait pertinemment que la jeune fille refuserait de le voir partir, pourtant il n'avait pas le choix, il obligeait, c'était pour son bien et celui de la donzelle de ne plus se voir pendants un moment, je dirais même un très long moment. Leur relation devenait douloureuse, Bastian Milford n'en pouvais plus, ne pas pouvoir la toucher, sa tendre, son amour, sa douce, c'était tout bonnement impossible. Il redoutait de devoir dire cela à Louane, il ne voulait pas lui faire de mal. Au non, il ne voulait que sont bien, mais leur relation était belle et bien fini. Enfin, fini était un bien grand mot, car le garçon aux cheveux noirs et aux yeux rouges en étaient encore follement amoureux de cette belle personne. À cette pensée il lâcha un petit gémissement emplie de douleur. Elle allait lui manquer terriblement. Cette fille dont il était tombé amoureux, lui fils de l'apocalypse, lui monstre venu des ténèbres pour détruire ce que Dieu à construit. Pour tout simplement tuer la race humaine qui selon Satan ne mérite pas d'être sur terre, cette espèce évoluer, mais qui est pourtant trop égoïste pour penser au autre espèce vivant en ses lieux. Les animaux qui se font massacrer soit pour le plaisir soit pour faire pulluler la race humaine. Satan, homme que l'on condamne pour tous les vices de cette terre, ancien ange qui a eu le malheur de tomber dans cet enfer de luxe et de luxure qu'est la terre. Une terre qui au début lui plaisait grandement, mais après il s'est rendu compte, bien après, après même que le Dieu suprême l'ai bannit de son palais pour traitrise. Il le comprit alors qu'il était retourné dans les profondeurs des terres. Le monde du magma, de la chaleur. L'enfer est qualifié comme un endroit où l'on va si on fait des péchés. Véritablement personne ne sait dire si c'est vrai ou pas, ça restera à jamais un mythe. Mais revenons d'abord à nos moutons. Lorsqu'on parlait du loup la jeune fille entra dans la pièce allégrement décorer, cela se voyait que la jeune femme possède une vie aisée. Bastian baissa la tête, ce que la lady ne semblait pas avoir remarqué, car elle l'enlaça tendrement. Le jeune homme frissonna, mais resta toujours tête basse. Louane fit le tour du canapé et vint s'asseoir sur les genoux de son amoureux. Elle le regardait les lèvres pincées.

« Bastian... Tout va bien ? Tu sembles bizarre. »

« Louane, je dois te dire quelque chose de très important, tu vas être triste, mais c'est la seule manière. Je ne peux pas faire autrement tu comprends. Promet moi de ne pas t'emporter. » La jeune fille hésita, sentant que ce qu'il allait dire allez la bouleverser, elle mordit donc ses lèvres, c'était un tic qu'elle avait lorsqu'elle était stressé.

« Va y. » Bastian prit le visage de la jeune femme dans ses mains et plongea son regard triste dans ses yeux bleus.

« Tu sais à quel point je t'aime Louane, mais... notre amour est trop dur, je ne suis pas fait pour aimer, je dois te détruire toi et ton monde. Pardonne moi ma chérie, pardon. » Ce dernier mot avait été soufflé, tant il avait du mal à prononcer cette phrase. Pour ce qui était de la jeune fille son coeur ce sera et ses lèvres trembler, elle allait pleurer. Bastian déglutit et la regarda de nouveau dans les yeux, caressant de son pouce la joue de Lou'.

« Ne pleure pas je t'en supplie, tu sais très bien que je ne peux pas rester, tu le savais en t'entichant de moi. »

Louane d'un geste rapide prit le bras du jeune homme et l'enleva de sa peau, elle fit de même avec l'autre bras. Elle se leva et commença à partir, tête haute, le caractère froid de la demoiselle prenait le dessus. Bastian le savait, elle allait se refermer et le haïr. S'en était fini de lui. Pourtant, il avait une mission à accomplir. Il ne devait pas flancher. Il n'aurait pas dû jouer avec le coeur de cette pauvre jeune fille. Bastian ce leva à son tour, adoptant le même regard que la jeune fille à la fin : vide et mort. Il était tant de mettre fin au monde. Cette terre qui était déjà bien abimée.